jeudi 15 décembre 2011

Des ONG juives sont membres d'une ONG dirigée par un Frère musulman belge ...

Quelques associations juives européenne (heureusement peu nombreuses mais néanmoins importantes) sont membres du Réseau européen contre le racisme (ENAR) pompeusement autoproclamé "la voix du mouvement antiraciste en Europe".  ENAR est basé à Bruxelles et est dirigé par Michaël Privotun Belge francophone converti à l'islam membre de la confrérie des Frères Musulmans: "Michaël Privot n’est en effet pas seulement «tendance» Frères musulmans, il est Frère musulman, comme il l’annonce sans complexe courant 2008 dans une carte blanche publiée dans Le Soir et intitulée « Frères musulmans: l’heure du coming out! »".  Selon le Moniteur belge M. Privot assure également "la gestion jounalière" d'ENAR avec la directrice adjointe, également Belge.

De surcroît, parmi les 13 associations européennes (transnationales) affiliées à l'ENAR, deux sont juives: le Centre Simon Wiesenthal Europe et le CEJI, Centre Européen Juif d’Information.  Font partie du réseau les associations juives nationales suivantes:

Belgique: Fondation Auschwitz (en effet, l'ENAR est cité commesite de référence sur le site de la Fondation Auschwitz belge)
France: Centre Simon Wiesenthal
Allemagne:  Zentralrat der Juden in Deutschland
Pays-Bas: CIDI
Hongrie: B'nai Brith
U.K.: Board of Deputies of British Jews et Academic Response to Antisemitism & Racism (ARARE).

Il est navrant que des associations juives soient associées à un organisme dont le dirigeant est lié aux Frères Musulmans dont on connaît la détestation des Juifs.  Voir également: Verviers bastion du Hamas? et Le Hamas célèbre la mort de 1365 Juifs israéliens à l'occasion de son 24e anniversaire.

"Michaël Privot n’est en effet pas seulement «tendance» Frères musulmans, il est Frère musulman, comme il l’annonce sans complexe courant 2008 dans une carte blanche publiée dans Le Soir et intitulée «Frères musulmans: l’heure du coming out!». Ce jeune converti a le CV-type du « cadre » Frère musulman: intellectuel (il est islamologue et chercheur à l’ULg), il s’est aussi largement investi dans l’associatif et les ONG, notamment dans la lutte contre le racisme. Il est ainsi actuellement responsable Réseau et campagne au sein de l’ENAR, le Réseau européen contre le racisme. (Et, y a pas à dire, ça, ça doit aider à acquérir rapidement une certaine légitimité au sein du MRAX.) Avant cela, il a travaillé au sein du FEMYSO (Forum of European Muslim ans Youth Organisations), un organisme, issu des Frères musulmans, qui regroupe au niveau européen des organisations de jeunesse musulmane et dont le siège est situé à Bruxelles. Il y était responsable des Institutions européennes et des ONG (autant dire qu’il s’y connaît en matière de lobbying!), il en est maintenant membre du conseil d’administration." (Source 2009)


Voir le rapport de la Fondation NEFA: The Muslim Brotherhood in Belgium

L'ENAR se targue de représenter pas moins de 700 ONG qui luttent contre le racisme en Europe...: "The European Network against Racism (ENAR) includes some 700 NGOs working to combat racism in all EU Member States. ENAR is determined to fight racism, racial discrimination, xenophobia and related intolerance, to promote equality of treatment between EU citizens and third country nationals, and to link local/ regional/national and European initiatives."

1 commentaire:

  1. Les journalistes belges francophones ont, pour la plupart, été formés dans des facultés où des écoles supérieures dont une large part du corps professoral est, depuis longtemps, acquise aux idées de "gauche". Cela est vrai aussi bien à l'ULB qu'à l'UCL. L'universalité et l'esprit critique qui devraient, pourtant, y régner, ont été remplacés par le militantisme le plus étroit dont les Israéliens et les Américains, bêtes noires traditionnelles des "progressistes" auto-proclamés, font régulièrement les frais. On ne se préoccupe plus de former les esprits mais bien de les dresser. La critique y est, non seulement, très vite étouffée, mais sanctionnée. Il ne fait pas bon, dans ces établissements, qui n'en ont plu d'universitaire que le nom, de s'opposer au politiquement correct de gauche où de se réclamer d'une autre obédience.Certaines de nos écoles et de nos facultés )se stalinisent de plus en plus. Il en sort des petits soldats bien formatés qui, incapables de prendre la moindre distance avec l'enseignement reçu, s'imaginent, ironie suprême, faire du journalisme tout en se croyant sincèrement objectifs.

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