samedi 7 mai 2011
Le CCLJ évoque enfin la vile campagne Boycott Israël (BDS) (1)
Le sujet mérite une étude sérieuse. Le CCLJ lui a consacré deux pages. Il s'agit du mouvement de boycott d'Israël (BDS). Il est erroné, comme l'affirme le secrétaire général de J Call, Willy Wolsztajn. que ce n'est que "depuis un an environ, [que] la campagne BDS cible l’opinion européenne".
Déjà en 2003, l'ONG Oxfam Belgique avait lancé une campagne appelant au boycott d'Israël en associant vilement le thème du Juif et du sang (crime rituel). L'ONG avait diffusé un poster dans les deux langues nationales où figurait une orange saignante. La campagne souleva une vague d'indignation mondiale et fut fermement condamnée par le Centre Simon Wiesenthal. Oxfam International désavoua publiquement Oxfam Belgique et présenta des excuses. Le poster figura également sur le site de la très influente Association Belgo-Palestinienne (Bruxelles-Wallonie), présidée par Pierre Galand [1], qui l'a depuis retirée tout en continuant à appeler au boycott d'Israël.
A l'infâme conférence de Durban, quelques jours avant les attentats du 11 septembre 2001, Pierre Galand appelait l'Europe à boycotter Israël : "la première étape devrait être de suspendre l’Accord d’association entre l’Union européenne et Israël". Et il enfonce le clou: "Le droit à l’égalité a été bafoué à Durban lorsque la Conférence contre le racisme a refusé d’assimiler l’attitude israélienne à une forme de racisme." (Pierre Galand le gourou belge de la stigmatisation d'Israël à Durban)
Le professeur Gerald Steinberg d'ONG-Monitor évoque en 2006 le rôle du belge Pierre Galand (curieusement absent de l'article):
"Les deux tactiques forment les éléments-clés du processus de Durban et de la lutte politique destinée à détruire Israël comme État souverain juif. Il existe des douzaines d’ONG anti-israéliennes opérant de façon très militante à travers toute l’Europe, perpétuant le mythe d’une «association civile neutre». En Belgique, la branche locale d’Oxfam, dirigée pendant de longues années par un socialiste radical du nom de Pierre Galand, a trouvé une façon originale de lancer sa campagne pour le boycott des produits israéliens et des Israéliens eux-mêmes: elle diffuse une affiche exploitant l’accusation de meurtre rituel, thème antisémite séculaire. Devenu membre du Sénat belge, Galand se sert de son influence et de sa position pour promouvoir les activités du Comité européen pour la coordination des ONG pour la Palestine (ECCP), siégeant à Bruxelles. Galand prend fréquemment la parole dans les conférences de Nations Unies dirigées contre Israël, sous les auspices du Comité de l’ONU pour les «droits inaliénables du peuple palestinien». Président du Forum des peuples et figure de proue de l’Association belgo-palestinienne, Galand joue un rôle prépondérant dans de nombreuses autres ONG radicales, belges et européennes."
[1] Pierre Galand:
- Senior Vice-président de la Fédération Humaniste Européenne,
- président du Centre d’Action Laïque belge francophone;
- ancien sénateur socialiste;
- maître de conférences et conseiller du Recteur de l'Université Libre de Bruxelles;
- adoubé comme "Juste" par le président du Parti Socialiste, Elio di Rupo;
- président du Comité Européen de coordination des ONG sur la Palestine (ECCP) basé à Bruxelles;
- membre du comité consultatif du fumeux BRussels Tribunal;
- fondateur des fumeux Tribunaux Russell belges sur la Palestine - Pierre Galand a baptisé ses "tribunaux" fantoches (deux ont déjà eu lieu et deux autres sont annoncés) en détournant le nom du grand philosophe Bertrand Russell et revendiquer sa paternité posthume. Pour cette entreprise "tribunalienne" il reçoit le soutien indéfectible de l'icône française de l'indignation anti-israélienne Stéphane Hessel;
- parrain du "tribunal de la conscience" belge qui condamne violemment Israël en 2009;
- promoteur de la campagne BDS contre Israël en France et en Belgique;
- grand humaniste;
- grand pourfendeur d'Israël (d'où il fut expulsé en 2002);
- militant globe-trotteur acharné pour le boycott;
- depuis peu promoteur de fashion boycotteuse;
- contribue à la déligitimation d'Israël en l'accusant de pratiquer l'apartheid. etc. etc. etc.
Déjà en 2003, l'ONG Oxfam Belgique avait lancé une campagne appelant au boycott d'Israël en associant vilement le thème du Juif et du sang (crime rituel). L'ONG avait diffusé un poster dans les deux langues nationales où figurait une orange saignante. La campagne souleva une vague d'indignation mondiale et fut fermement condamnée par le Centre Simon Wiesenthal. Oxfam International désavoua publiquement Oxfam Belgique et présenta des excuses. Le poster figura également sur le site de la très influente Association Belgo-Palestinienne (Bruxelles-Wallonie), présidée par Pierre Galand [1], qui l'a depuis retirée tout en continuant à appeler au boycott d'Israël.
A l'infâme conférence de Durban, quelques jours avant les attentats du 11 septembre 2001, Pierre Galand appelait l'Europe à boycotter Israël : "la première étape devrait être de suspendre l’Accord d’association entre l’Union européenne et Israël". Et il enfonce le clou: "Le droit à l’égalité a été bafoué à Durban lorsque la Conférence contre le racisme a refusé d’assimiler l’attitude israélienne à une forme de racisme." (Pierre Galand le gourou belge de la stigmatisation d'Israël à Durban)
Le professeur Gerald Steinberg d'ONG-Monitor évoque en 2006 le rôle du belge Pierre Galand (curieusement absent de l'article):
"Les deux tactiques forment les éléments-clés du processus de Durban et de la lutte politique destinée à détruire Israël comme État souverain juif. Il existe des douzaines d’ONG anti-israéliennes opérant de façon très militante à travers toute l’Europe, perpétuant le mythe d’une «association civile neutre». En Belgique, la branche locale d’Oxfam, dirigée pendant de longues années par un socialiste radical du nom de Pierre Galand, a trouvé une façon originale de lancer sa campagne pour le boycott des produits israéliens et des Israéliens eux-mêmes: elle diffuse une affiche exploitant l’accusation de meurtre rituel, thème antisémite séculaire. Devenu membre du Sénat belge, Galand se sert de son influence et de sa position pour promouvoir les activités du Comité européen pour la coordination des ONG pour la Palestine (ECCP), siégeant à Bruxelles. Galand prend fréquemment la parole dans les conférences de Nations Unies dirigées contre Israël, sous les auspices du Comité de l’ONU pour les «droits inaliénables du peuple palestinien». Président du Forum des peuples et figure de proue de l’Association belgo-palestinienne, Galand joue un rôle prépondérant dans de nombreuses autres ONG radicales, belges et européennes."
[1] Pierre Galand:
- Senior Vice-président de la Fédération Humaniste Européenne,
- président du Centre d’Action Laïque belge francophone;
- ancien sénateur socialiste;
- maître de conférences et conseiller du Recteur de l'Université Libre de Bruxelles;
- adoubé comme "Juste" par le président du Parti Socialiste, Elio di Rupo;
- président du Comité Européen de coordination des ONG sur la Palestine (ECCP) basé à Bruxelles;
- membre du comité consultatif du fumeux BRussels Tribunal;
- fondateur des fumeux Tribunaux Russell belges sur la Palestine - Pierre Galand a baptisé ses "tribunaux" fantoches (deux ont déjà eu lieu et deux autres sont annoncés) en détournant le nom du grand philosophe Bertrand Russell et revendiquer sa paternité posthume. Pour cette entreprise "tribunalienne" il reçoit le soutien indéfectible de l'icône française de l'indignation anti-israélienne Stéphane Hessel;
- parrain du "tribunal de la conscience" belge qui condamne violemment Israël en 2009;
- promoteur de la campagne BDS contre Israël en France et en Belgique;
- grand humaniste;
- grand pourfendeur d'Israël (d'où il fut expulsé en 2002);
- militant globe-trotteur acharné pour le boycott;
- depuis peu promoteur de fashion boycotteuse;
- contribue à la déligitimation d'Israël en l'accusant de pratiquer l'apartheid. etc. etc. etc.
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