mercredi 19 mai 2010
Demi-million de brochures anti-israéliennes financées par le contribuable européen?
"Plus gênant est sans doute que le demi-million de brochures est financé, comme les autres dépenses de l'autorité palestinienne (par exemple les manuels scolaires antisémites), par le contribuable européen. Qui, lui, n'a malheureusement pas la possibilité de boycotter cette dépense..." Et ce en pleine crise européenne !
Suite à l'article de Renée-Anne Gutter (visiblement amusée que les mesures fassent "fulminer les colons") paru dans La Libre Belgique (Les Palestiniens boycotteront les produits des colonies juives), un lecteur commente dans le forum:
"On ne voit pas bien pourquoi les Palestiniens n'auraient pas le droit de ne pas acheter des produits qui ne leur plaisent pas en raison de leur origine. En revanche, les contraindre à ce choix par la menace (prison ou amende) ne serait pas acceptable dans une démocratie, ce que l'autorité palestinienne n'est toutefois pas.
Plus gênant est sans doute que le demi-million de brochures est financé, comme les autres dépenses de l'autorité palestinienne (par exemple les manuels scolaires antisémites), par le contribuable européen. Qui, lui, n'a malheureusement pas la possibilité de boycotter cette dépense..."
Extraits de l'article:
"[...] le gouvernement Fayad passe à la vitesse supérieure: conscientiser l’ensemble du public. Dans une vaste opération de "porte-à-porte", des milliers de volontaires et fonctionnaires [rémunérés par l'Union européenne, comme s'interroge le lecteur ?] ont commencé mardi à sillonner la Cisjordanie, distribuant du matériel d’information et pressant chaque foyer de signer un engagement formel à bouder les marchandises des colons. Un demi-million de brochures [également à charge du contribuable européen ?] seront également envoyées à travers la région.
Sous le mot d’ordre "Toi et ta conscience", elles décrivent le tort causé par ces produits à l’économie palestinienne et énumèrent 500 articles visés. Illustrations et codes-barres à l’appui, pour reconnaître un produit "insidieux" dont l’emballage masquerait la provenance. Sur la liste noire, tout ce qui émane des villages agricoles et parcs industriels établis par Israël en territoire occupé: fruits, légumes, aliments de toutes sortes, articles ménagers, produits de beauté, meubles, textiles, outils, équipements sanitaires, appareils électroniques. Selon le ministère de l’Economie à Ramallah, le chiffre de vente de ces biens sur le marché palestinien atteint annuellement 200 à 500 millions de dollars."
Suite à l'article de Renée-Anne Gutter (visiblement amusée que les mesures fassent "fulminer les colons") paru dans La Libre Belgique (Les Palestiniens boycotteront les produits des colonies juives), un lecteur commente dans le forum:
"On ne voit pas bien pourquoi les Palestiniens n'auraient pas le droit de ne pas acheter des produits qui ne leur plaisent pas en raison de leur origine. En revanche, les contraindre à ce choix par la menace (prison ou amende) ne serait pas acceptable dans une démocratie, ce que l'autorité palestinienne n'est toutefois pas.
Plus gênant est sans doute que le demi-million de brochures est financé, comme les autres dépenses de l'autorité palestinienne (par exemple les manuels scolaires antisémites), par le contribuable européen. Qui, lui, n'a malheureusement pas la possibilité de boycotter cette dépense..."
Extraits de l'article:
"[...] le gouvernement Fayad passe à la vitesse supérieure: conscientiser l’ensemble du public. Dans une vaste opération de "porte-à-porte", des milliers de volontaires et fonctionnaires [rémunérés par l'Union européenne, comme s'interroge le lecteur ?] ont commencé mardi à sillonner la Cisjordanie, distribuant du matériel d’information et pressant chaque foyer de signer un engagement formel à bouder les marchandises des colons. Un demi-million de brochures [également à charge du contribuable européen ?] seront également envoyées à travers la région.
Sous le mot d’ordre "Toi et ta conscience", elles décrivent le tort causé par ces produits à l’économie palestinienne et énumèrent 500 articles visés. Illustrations et codes-barres à l’appui, pour reconnaître un produit "insidieux" dont l’emballage masquerait la provenance. Sur la liste noire, tout ce qui émane des villages agricoles et parcs industriels établis par Israël en territoire occupé: fruits, légumes, aliments de toutes sortes, articles ménagers, produits de beauté, meubles, textiles, outils, équipements sanitaires, appareils électroniques. Selon le ministère de l’Economie à Ramallah, le chiffre de vente de ces biens sur le marché palestinien atteint annuellement 200 à 500 millions de dollars."
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