[RTBF: Pascale Bourgaux nominée aux Oscars de la désinformation]
Ca nous rappelle qu'un autre terroriste fut accueilli en Belgique et fut soutenu par Le Soir. Peu reconnaissant il sera arrêté en 2004 pour grand bandistisme ...
"Ainsi de Khalil Mouhammad Abdallah al-Nawawreh, l’un des terroristes exilés en Belgique après le siège de la basilique de la Nativité à Bethléem, qui fut à l’époque totalement innocenté de toutes les accusations portées par Israël, mais sera arrêté en janvier 2004 pour grand banditisme.Récit du siège repris du site du Ministère des Affaires étrangères israélien:
Extrait d’un article du Soir du 13 août 2002 signé par Agnès Gorissen : "même s'il avait le pedigree le plus léger parmi les treize bannis, les services de renseignements israéliens l'accusaient d'être un terroriste des Tanzim, bras armé du Fatah (le parti d'Arafat). Il était également accusé d'avoir, lors d'une de ces attaques, en février 2001, tué un Israélien. Mais très vite, les mesures de surveillance se sont relâchées. C'est qu'après enquête, il semble bien que le jeune Palestinien ne correspond pas tout à fait au profil dressé par Israël. Il se murmure même que la Sûreté belge aurait démonté la plupart des accusations que l'Etat hébreu avait inscrites dans son dossier". (Source: Joël Kotek, La Belgique et ses Juifs : de l'antijudaïsme comme code culturel, à l'antisonisme comme religion civique, Etudes du CRIF, 2004).
"Des sites chrétiens ont également été délibérément impliqués dans le conflit par les terroristes palestiniens. L'épisode le plus sacrilège est probablement l'irruption de Palestiniens armés dans la basilique qui symbolise le lieu de naissance de Jésus. Non seulement ces terroristes ont profané la basilique de la Nativité à Bethléem par la présence même de leurs armes automatiques et de leurs explosifs, mais ils ont en outre utilisé les fenêtres de l'édifice comme positions de tir et se sont délibérément servi des ecclésiastiques présents en tant que boucliers humains, les contraignant à subir une situation extrêmement instable.
En vertu du droit international, les lieux de culte bénéficient d'une protection privilégiée. La présence de terroristes palestiniens armés dans la basilique de la Nativité et à proximité d'autres lieux saints - que ce soit pour camoufler ou pour commettre des actes hostiles - constitue une violation flagrante de l'immunité et de la protection spéciale accordée à ces sites. Ces actes enfreignent gravement le premier amendement (1977) aux conventions de Genève et sont considérés à tous égards comme des crimes de guerre par le droit humanitaire international. Le comportement des terroristes palestiniens a mis en péril la vie et la sécurité des ecclésiastiques exerçant leurs fonctions sur les lieux, ce qui constitue une grave violation de leurs droits. Les Palestiniens armés qui ont utilisé les dignitaires religieux de la basilique de la Nativité comme des boucliers humains contre une attaque militaire ont, de toute évidence, commis un crime de guerre tel qu'il est défini par le droit international, ainsi qu'une grave infraction aux conventions de Genève et à leurs amendements.
Convaincus qu'Israël ferait tout pour respecter le caractère sacré du site, même au péril de la vie de ses soldats, les terroristes palestiniens ont choisi de se barricader dans la basilique de la Nativité. Ils ont cyniquement exploité l'attachement d'Israël à respecter ses normes morales et son profond respect pour la religion d'autrui. Les dirigeants palestiniens étaient également conscients du fait que si Tsahal était acculé à la riposte, Israël serait vraisemblablement tenu pour responsable de toutes les conséquences fâcheuses qui s'ensuivraient.
Les tentatives des Palestiniens d'impliquer le monde chrétien dans le conflit ne constituent pas une nouveauté. Lorsqu'ils ont fait irruption dans la basilique de la Nativité, ce n'était pas la première fois qu'ils utilisaient ce lieu saint ou d'autres sites chrétiens pour cacher des hommes en armes ou pour poster des tireurs embusqués. Des coups de feu étaient fréquemment tirés contre le quartier de Guilo, dans le sud de Jérusalem, depuis le village arabe chrétien voisin de Beit Jala, par des terroristes palestiniens qui avaient délibérément choisi d'ouvrir le feu depuis des positions proches des églises et des écoles. Ces attaques sont vicieusement destinées à entraîner les chrétiens du monde entier dans le conflit en provoquant une riposte israélienne qui porterait atteinte aux nombreux sites chrétiens du village. De son côté, Israël a fait tout son possible pour réagir avec la plus grande retenue possible, repérant précisément les positions terroristes d'où partaient les attaques."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire