samedi 30 janvier 2010
Bichara Khader invité "exceptionnel" du Centre Laïque Juif (CCLJ)
"Israël aura beau jeu de dire qu’il est la victime "innocente" d’un terrorisme radical de type religieux, alors que c’est lui qui pratique la forme du terrorisme la plus abjecte, les bombardements au phosphore blanc." (Bichara Khader, LLB, 08/08/2009)
Le CCLJ organise une "table-ronde exceptionnelle" pour les jeunes de 15-25 ans avec la "participation exceptionnelle" de Bichara Khader, professeur à l’Université catholique de Louvain et directeur du Centre d'étude et de recherche sur le monde arabe contemporain (CERMAC). On connaît le souci du CCLJ d'adopter des positions qui ne fassent pas polémique, de promouvoir le consensus absolu. Mais qui aura la naïveté de croire Bishara Khader, l'exemple parfait du contempteur caricaturel d'Israël, puisse contribuer à "une réflexion apaisée et constructive" du "sujet plus que sensible, le conflit israélo-palestinien [qui] est au cœur de tous les débats"? Et ce à l'adresse d'un public de jeunes - dont certains d'à peine 15 ans ! Mais ne craignons rien. Le professeur de l'Université catholique de Louvain saura se montrer charmant et mesuré pour l'occasion. Et au fond c'est peut-être cette illusion qui compte dans la poursuite du consensus.
- Belgique: les bien chers frères Khader et la guerre occulte contre Israël (Père UBU)
- Bichara Khader: "Israël pratique la forme du terrorisme la plus abjecte" (un réquisitoire anti-israélient d'une férocité inouïe)
- Bichara Khader et la "dé-existence" palestinienne:
"La réalisation du rêve sioniste d’un État des Juifs nécessitait, dès lors, le déplacement forcé de la population arabe. D’où la tragédie des réfugiés palestiniens qui demeure l’épicentre du conflit. En d’autres termes, la victoire d’Israël a reposé sur la dé-existence palestinienne. Voici pour les faits têtus: on a beau user de toutes les ruses pour tordre le cou à la vérité, en égrenant des arguments fallacieux, l’histoire réelle finit par avoir le dessus sur l’usage instrumental de l’histoire."
Repris du site du CCLJ : "Proche-Orient : la paix maintenant ! Comprendre, dialoguer et vivre ensemble"
"Sujet plus que sensible, le conflit israélo-palestinien est au cœur de tous les débats. Le traitement médiatique souvent sensationnaliste, l’identification forte avec l’un ou l’autre "côté", le manque de compréhension et l'absence de recul contribuent à renforcer les préjugés et à radicaliser les positions. Par cette table ronde menée par deux grands penseurs d’aujourd’hui, le CCLJ propose une réflexion apaisée et constructive pour et avec les jeunes. Parce que le combat pour la paix ne peut connaître de trêve."
Débattront (03/02) avec Bichara Khader: Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël, professeur à l’Université de Tel Aviv, David Susskind, président d’honneur du CCLJ et Stéphane Wajskop, administrateur du CCLJ.
Le CCLJ organise une "table-ronde exceptionnelle" pour les jeunes de 15-25 ans avec la "participation exceptionnelle" de Bichara Khader, professeur à l’Université catholique de Louvain et directeur du Centre d'étude et de recherche sur le monde arabe contemporain (CERMAC). On connaît le souci du CCLJ d'adopter des positions qui ne fassent pas polémique, de promouvoir le consensus absolu. Mais qui aura la naïveté de croire Bishara Khader, l'exemple parfait du contempteur caricaturel d'Israël, puisse contribuer à "une réflexion apaisée et constructive" du "sujet plus que sensible, le conflit israélo-palestinien [qui] est au cœur de tous les débats"? Et ce à l'adresse d'un public de jeunes - dont certains d'à peine 15 ans ! Mais ne craignons rien. Le professeur de l'Université catholique de Louvain saura se montrer charmant et mesuré pour l'occasion. Et au fond c'est peut-être cette illusion qui compte dans la poursuite du consensus.
- Belgique: les bien chers frères Khader et la guerre occulte contre Israël (Père UBU)
- Bichara Khader: "Israël pratique la forme du terrorisme la plus abjecte" (un réquisitoire anti-israélient d'une férocité inouïe)
- Bichara Khader et la "dé-existence" palestinienne:
"La réalisation du rêve sioniste d’un État des Juifs nécessitait, dès lors, le déplacement forcé de la population arabe. D’où la tragédie des réfugiés palestiniens qui demeure l’épicentre du conflit. En d’autres termes, la victoire d’Israël a reposé sur la dé-existence palestinienne. Voici pour les faits têtus: on a beau user de toutes les ruses pour tordre le cou à la vérité, en égrenant des arguments fallacieux, l’histoire réelle finit par avoir le dessus sur l’usage instrumental de l’histoire."
Repris du site du CCLJ : "Proche-Orient : la paix maintenant ! Comprendre, dialoguer et vivre ensemble"
"Sujet plus que sensible, le conflit israélo-palestinien est au cœur de tous les débats. Le traitement médiatique souvent sensationnaliste, l’identification forte avec l’un ou l’autre "côté", le manque de compréhension et l'absence de recul contribuent à renforcer les préjugés et à radicaliser les positions. Par cette table ronde menée par deux grands penseurs d’aujourd’hui, le CCLJ propose une réflexion apaisée et constructive pour et avec les jeunes. Parce que le combat pour la paix ne peut connaître de trêve."
Débattront (03/02) avec Bichara Khader: Elie Barnavi, ancien ambassadeur d’Israël, professeur à l’Université de Tel Aviv, David Susskind, président d’honneur du CCLJ et Stéphane Wajskop, administrateur du CCLJ.
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