mardi 15 juin 2010
2002: Louis Michel était adepte de sanctions contre Israël
En 2002, un Parlement européen déjà très anti-israélien et un Louis Michel qui prônait des sanctions avant de se rétracter ... Depuis, ses condamnations d'Israël n'ont jamais faibli. Comme quoi on se trompe en prétendant que c'est la gauche qui est hostile à Israël.
Source: Le Figaro, article par Pierre Bocev, 16.04.2002. Extraits:
"[...] à Genève, où la Commission des droits de l'homme de l'ONU procédait hier matin au vote d'une résolution pour condamner Israël. Sur les neuf pays de l'Union représentés dans cet organe, l'Italie s'est prudemment abstenue, alors que la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont honoré leurs positions traditionnelles en votant contre ce texte. Les six autres Européens, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la France, le Portugal et la Suède, lui ont au contraire donné leur aval, dans une belle cacophonie diplomatique. [...]
Ou encore l'éventualité de sanctions européennes contre Israël. Même Louis Michel, le ministre belge qui avait défendu cette ligne également choisie par le Parlement européen, est revenu sur ses choix. "Je ne suis pas un farouche supporter de sanctions dures", dit-il maintenant. Les députés de Strasbourg avaient demandé, la semaine dernière, la "suspension" de l'"Accord d'association" qui lie les Quinze à Israël. Il n'en est pas question."
The EU Backs Off On Israel (Deutsche Welle, 15.04.2002). Extraits:
"No trade sanctions
The ministers also ruled out sanctions against Israel over its West Bank offensive. The European Parliament adopted a resolution last week which called on the 15-nation bloc to suspend its six-year-old Association Treaty with Israel. Under this, Israel enjoys preferential trade terms with its biggest trading partner.
The parliament vote mirrored public opinion in Europe, where there have been dozens of protests against Israel. But only Belgium had openly suggested suspending the pact. On Monday, its foreign minister backed down. "I am not a fierce supporter of tough sanctions," Louis Michel told Belgian radio RTBF.
Source: Le Figaro, article par Pierre Bocev, 16.04.2002. Extraits:
"[...] à Genève, où la Commission des droits de l'homme de l'ONU procédait hier matin au vote d'une résolution pour condamner Israël. Sur les neuf pays de l'Union représentés dans cet organe, l'Italie s'est prudemment abstenue, alors que la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont honoré leurs positions traditionnelles en votant contre ce texte. Les six autres Européens, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la France, le Portugal et la Suède, lui ont au contraire donné leur aval, dans une belle cacophonie diplomatique. [...]
Ou encore l'éventualité de sanctions européennes contre Israël. Même Louis Michel, le ministre belge qui avait défendu cette ligne également choisie par le Parlement européen, est revenu sur ses choix. "Je ne suis pas un farouche supporter de sanctions dures", dit-il maintenant. Les députés de Strasbourg avaient demandé, la semaine dernière, la "suspension" de l'"Accord d'association" qui lie les Quinze à Israël. Il n'en est pas question."
The EU Backs Off On Israel (Deutsche Welle, 15.04.2002). Extraits:
"No trade sanctions
The ministers also ruled out sanctions against Israel over its West Bank offensive. The European Parliament adopted a resolution last week which called on the 15-nation bloc to suspend its six-year-old Association Treaty with Israel. Under this, Israel enjoys preferential trade terms with its biggest trading partner.
The parliament vote mirrored public opinion in Europe, where there have been dozens of protests against Israel. But only Belgium had openly suggested suspending the pact. On Monday, its foreign minister backed down. "I am not a fierce supporter of tough sanctions," Louis Michel told Belgian radio RTBF.
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