samedi 3 avril 2010

Pour les antisionistes des Halles de Schaerbeek, Israël n’existe déjà plus !

"Les Halles de Schaerbeek abritent l’antisémitisme, dissimulé sous le masque de l’antisionisme."

C'est aux Halles de Schaerbeek que, comme le rappelle son site, ont eu lieu de nombreux événement du festival/saison artistique anti-israélien Masarat Bruxelles-Wallonie-Palestine en 2008 et après (2008, année du 60e anniversaire de la création d'Israël).  Fabienne Verstraeten, fut d'ailleurs "commissaire" de MASARAT Bruxelles-Wallonie-Palestine-saison artistique ...  Et ô surprise Fabienne Verstraten est la patronne des Halles - elle est en effet la directrice et également responsable de la programmation des "arts de la scène" de ce haut lieu de la culture de la capitale de l'Europe.

Source: Père Ubu (Pour les antisionistes subsidiés des Halles de Schaerbek, Israël n’existe déjà plus !)

Au fil des années, les Halles de Schaerbeek ont voulu devenir le temple du multiculturel, version PS. Otez immédiatement le "multi", car si vous croyez que la culture locale ou simplement belge est comprise dans le "multiculturel", c’est qu’il vous reste des tonnes de naïveté à perdre !  Ce n’est pas aux Halles que l’on se rend pour applaudir "Bossemans et Coppenolle". En revanche, c’est en masse qu’y débarquent des spectacles dont le seul mérite consiste à avoir été conçus à plus de mille kilomètres à la ronde, de préférence par d’éphémères troupes se réclamant de cultures encore plus exotiques.

Israël, rayée de la carte
Ce mois de mars a vu se développer un festival des cultures de la Méditerranée. De l’Egypte au Maroc, de la Turquie à l’Andalousie, les Halles de Schaerbeek ont annoncé un panorama culturel, au travers de spectacles choisis selon d’obscurs critères, dont ni l’originalité, ni le talent ne faisaient partie. Un absent: Israël (Le "secteur" de l'anti-israélisme en pleine expansion à Bruxelles). Pour les mendiants de subsides, ce pays se situerait-il au bord de la Mer Baltique ou quelque part entre Vénus et Alpha du Centaure ? Une chose semble certaine pour les légumes cultureux des Halles : la culture israélienne [cinéma, compagnies de danse, littérature, groupes musicaux, etc], cela n’existe pas plus que la Shoah.


En cela, les irresponsables du bidule schaerbeekois [la cité des ânes, c’est tout dire !], où fleurissent les fêtes autour de l’Aïd el Kebîr [le massacre des moutons], rejoignent le clan des islamistes et d’Ahmadinejad, le malade iranien : pour eux, Israël doit disparaître et les Juifs doivent être jetés à la mer. Cette dernière injonction appartient à un fantasme musulman, largement répandu par l’ancien mufti de Jérusalem, ami d’Hitler et d’Himmler et, accessoirement, parent de Leïla Shahid, la croassante égérie de l’Autorité palestinienne auprès de l’Union européenne.

Une Halle antisémite
Mieux connues pour la consommation de drogues diverses [comme en témoignent de nombreuses plaintes et descentes de police], les Halles de Schaerbeek abritent l’antisémitisme, dissimulé sous le masque de l’antisionisme.

Les stipendiés par l’argent des contribuables doivent bien ça à leurs généreux donateurs : les socialos de la tradition Edmond Picard et Henri de Man, grands antisémites devant Marx le père, Lénine le fils et Staline le saint d’esprit.  L’antisémitisme de gauche ne s’est jamais aussi bien porté qu’en ces années où il est de bon ton de condamner la politique d’Israël. Et dire que ce sont des gens comme Flahaut qui ne cessent d’agiter la menace du retour "aux années noires"… quand des anonymes mettent au grand jour des dossiers sur Papa Daerden, fils et Cie, que l’on s’apprêtait à jeter aux oubliettes. Les antisémites, façon "années noires", ils sont dans la boutique à Flahaut, Moureaux et Di Rupette !

Pour en finir avec les Halles de Schaerbeek, signalons qu’avant de promouvoir la culture, ce brol a d’abord promu les copains. On y trouvait même dans son CA un journaliste de Télémoustique, un certain André Viollier, gauchiste bon teint, proche des CCC et époux d’une fonctionnaire suédoise de la Communauté européenne. On se demande encore aujourd’hui quel besoin il y avait à aller chercher un Français pour étoffer une équipe qui devrait être prioritairement composée de Belges, puisque l’argent vient du contribuable belge…

Jules UBU

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