vendredi 12 février 2010
Stigmatisation d'Israël: le Centre Culturel du Brabant Wallon et 'Asseoir l'Espoir'
Et voilà que les artistiques et très pro-palestiniennes "chaises-oeuvres" refont leur apparition en Wallonie.
Le site de l'association Asseoir l'Espoir (site hébergé par Présence et Action Culturelles (PAC)), qui a pour objectif de "sensibiliser un large public à la cause palestinienne" indique que le Centre Culturel du Brabant Wallon [1] (dont le président est l'Ecolo David da Câmara Gomes) s'est associé à sa campagne de chaises artistiques censées asseoir l'espoir au profit d'une école de cirque en Palestine en proposant à "des artistes professionnels, des artistes amateurs, des créateurs et créatrices, des écoles d’art, des centres d’expression et de créativité, des groupes de jeunes, d’adultes, des associations … de créer, de décorer, de transformer une chaise en objet d’art" qui seront vendues au profit de la dite école de cirque. (Masarat pour la Palestine: "asseoir l’espoir" sur ... des "chaises-oeuvres")
A première vue, la démarche est louable. Mais si on se donne la peine de consulter le site, on ne peut qu'être troublé par le ton d'hostilité envers Israël. Dans le bandeau du titre du site on trouve les slogans habituels qu'on utilise lorsqu'on veut stigmatiser Israël "Pour refuser l'inacceptable" et "Etre un artiste dans ce pays [la Palestine ou Israël ?] c'est survivre, espérer et résister".
Le site, très élaboré, très professionnel et où rien n'est laissé au hasard, évoque également le spectacle "Circus Behind the Wall" donné en Belgique francophone- dans le le cadre du somptueux festival anti-israélien Masarat qui a accueilli 133 Palestiniens, dans 73 lieux autour de 218 événements - au "mur de ségrégation". (Lors de la présentation du spectacle en 2008, pour les flamands il s'agissait juste d'un "muur" et pas d'un "mur de la ségrégation")
Une photo, évidemment de Véronique Vercheval, très bien ciblée montre une soldate israélienne qui contrôle un étui/porte-monnaie d'une petite fille palestinienne.
[1] Le projet bénéficie également du soutien la Communauté Française, service de l’Education permanente et La Région Wallonne et de la Province du Brabant Wallon, et de la collaboration de la Commune de Rebecq, PAC Rebecq, la Maison de Jeunes Point de Rencontre, le Plan de Cohésion Sociale de Rebecq, la ville de Huy, la ville de Court-St-Étienne etc.
"Asseoir l’espoir", une opération de solidarité (RTBF)
Le site de l'association Asseoir l'Espoir (site hébergé par Présence et Action Culturelles (PAC)), qui a pour objectif de "sensibiliser un large public à la cause palestinienne" indique que le Centre Culturel du Brabant Wallon [1] (dont le président est l'Ecolo David da Câmara Gomes) s'est associé à sa campagne de chaises artistiques censées asseoir l'espoir au profit d'une école de cirque en Palestine en proposant à "des artistes professionnels, des artistes amateurs, des créateurs et créatrices, des écoles d’art, des centres d’expression et de créativité, des groupes de jeunes, d’adultes, des associations … de créer, de décorer, de transformer une chaise en objet d’art" qui seront vendues au profit de la dite école de cirque. (Masarat pour la Palestine: "asseoir l’espoir" sur ... des "chaises-oeuvres")
A première vue, la démarche est louable. Mais si on se donne la peine de consulter le site, on ne peut qu'être troublé par le ton d'hostilité envers Israël. Dans le bandeau du titre du site on trouve les slogans habituels qu'on utilise lorsqu'on veut stigmatiser Israël "Pour refuser l'inacceptable" et "Etre un artiste dans ce pays [la Palestine ou Israël ?] c'est survivre, espérer et résister".
Le site, très élaboré, très professionnel et où rien n'est laissé au hasard, évoque également le spectacle "Circus Behind the Wall" donné en Belgique francophone- dans le le cadre du somptueux festival anti-israélien Masarat qui a accueilli 133 Palestiniens, dans 73 lieux autour de 218 événements - au "mur de ségrégation". (Lors de la présentation du spectacle en 2008, pour les flamands il s'agissait juste d'un "muur" et pas d'un "mur de la ségrégation")
Une photo, évidemment de Véronique Vercheval, très bien ciblée montre une soldate israélienne qui contrôle un étui/porte-monnaie d'une petite fille palestinienne.
[1] Le projet bénéficie également du soutien la Communauté Française, service de l’Education permanente et La Région Wallonne et de la Province du Brabant Wallon, et de la collaboration de la Commune de Rebecq, PAC Rebecq, la Maison de Jeunes Point de Rencontre, le Plan de Cohésion Sociale de Rebecq, la ville de Huy, la ville de Court-St-Étienne etc.
"Asseoir l’espoir", une opération de solidarité (RTBF)
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